Jean-Louis MURAT … « Morituri » … 2016 …

« Morituri » le prochain opus de MURAT ne sera disponible que le 15 avril 2016. Mais déjà « French lynx » le 1er single de l’album rugit et fait parler de lui … « FRENCH LYNX »  c’est qui ??? C’est l’Auvergnat : Jean-Louis BERGHEAUD  dit MURATpour les « Dames » … mais aussi pour les « Messieurs »

french lynx1

Et oui, le « lynx » c’est lui : MURAT dépenaillé, en guenilles, sans pantalon. Cela fait des lustres que MURAT nous répète, seul dans le désert, que bien des choses vont mal dans le pays. Le Français se perd. Les valeurs essentielles ne sont plus respectées. Ses paroles sont celles d’un : « bon père de famille« . Cela lui vaut, lui a valu, bien des railleries. C’est quoi ce chanteur qui veut vendre des disques, et qui nous tient un discours que certains disent « réactionnaire »,  alors qu’il n’est que de bon sens ? Oui MURAT « sans culotte » c’est la France où tout va à veau l’eau. Les apparences sont trompeuses. La mine est encore fière. Les ray ban font leur effet … mais les bases sont chancelantes ! Le discours de nos politiques n’a plus de prises, pourtant il se veut encore optimiste. Mais les Français ne sont plus dupes. Ils ne veulent plus de ces hommes qui ne sont que des menteurs pour la plupart, qui ne pensent qu’à eux.  Et oui, ce MURAT défroqué, c’est la France qui est à poil !  Notre langue y compris est en danger puisque, triste sort … morne « pleine » … la voilà abandonnée aux : « ANAL FA BÊTES ». N’en jetez plus … la coupe est « plaine » … D’ici, j’entends le lynx d’Orcival qui sort de ses gonds, qui rugit, qui gémit …   

.

Extrait de « French lynx »

(…)

« Tu rumines au sextant

Tu te crois indigène

Mais tout est éboulis« 

(…)

« Au temps que tout emporte

Rien ne tient le contre courant »

(…)

.

french lynx

Les mots de MURAT disent tout … Ils révèlent nos maux …  .

Les paroles de cette chanson sont belles et cruelles.  Dès la première strophe MURAT nous livre son portrait tout craché …

« Vite tu penses une chose

Tu penses son contraire

Tu passes ton temps à faire

Encore plus à défaire ».

(…)

Le constat qui suit me donne froid dans le dos. Chez MURAT aucune concession, point de faux semblant, de sourires hypocrites, de niaiseries abêtissantes pour mettre un peu de baume au cœur du consommateur éventuel que nous sommes … Le couperet tombe, les mots vous glacent, MURAT fait face …

  (…)

Tu sens comme tout de toi

Ne prend plus la lumière

Tu sens comme tout de toi

Glisse sans fin vers la rivière

Dans la vie d’ici ».

(…)

Cette chanson ne fera jamais un tube. Mais les paroles sont divinement superbes. Vous allez dire que je suis mauvais juge, j’ai plaisir à lire RIMBAUD, VERLAINE et APOLLINAIRE. Un jour viendra où l’on reconnaîtra les mérites de MURAT … Vous pouvez rire de moi … que m’importe !

***

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« Pias » semble avoir mes les petits plats dans les grands pour la sortie du nouvel opus de MURAT. Dans le cadre de la promo la maison de disques a édité 4 fiches cartonnées (format 12 x 25) comportant l’intégrale des 11 textes de l’album. J’aime l’écriture de MURAT et vous le savez bien, plus encore que ses chansons. C’est peut-être péché que de le dire mais c’est ainsi. Ce matin j’ai donc pu lire tous les titres du nouvel album. Certains sont sublimes. C’est à en pleurer. « Le chant du coucou » est remarquable ! C’est simple, c’est beau  ! Qu’il est bien de pouvoir goûter ces textes avant la sortie de l’album, le plaisir de lire et relire n’en est que plus fort.

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A la campagne, il y a cinquante ans, que ce soit en Auvergne ou en Bretagne, il y a une chose dont on ne parle jamais, qu’on fait souvent (du moins je l’espère) c’est : « ça ». On le fait comment ? Eh bien : « comme ça ! ». C’est quoi ? C’est : « la chose ». Dans le texte du titre « Morituri » femme ose dire : « Ne fais pas comme ça » puis de se résigner et finir par lâcher : « Ca ne me va pas/Si la chose te va ». Ces « choses » là, il ne faut pas qu’elles se sachent. Le faire comme ça, devient une habitude : « La manie est prise« , femme consent et s’incline : « Si la chose te va ». MURAT écrit : « Nue sous la remise/On fait ça comme ça« . Plus en amont il précise  : « Pour éclaircir ma voix/Non ne le dis pas ». Et vous pensez à quoi ? A la même chose que vous bien évidemment !  

Dans « Morituri » c’est une femme qui parle. Avec gouaille elle s’exclame : « Le sang a séché » (…) « Pauvre con à moi ». Son amant, mari ou pas n’est pas toujours habile, elle murmure : « Faisons ça fissa ». D’autres fois elle est plus admirative et concède : « Comme tu y vas ! ».

A la campagne on n’est pas des « diseux », on est des « taiseux » des « faiseux » des « baiseux » aussi. Cela ne se dit pas. Le plus souvent, pour ne pas dire toujours, c’est l’homme qui décide. Madame n’est pas disposée ? Qu’importe ! C’est comme ça. Monsieur a des envies, monsieur les assouvit. Après ça, une bonne rincette. Il ne restera à Madame qu’à faire une petite toilette et reprendre le rythme d’une journée de travail, commencée tôt avec la traite des vaches, qui se finira tard avec les préparatifs pour le lendemain. A la campagne, ce sont les animaux, le taureau, le cheval, le chien ou le chat qui vous apprennent tout. Ces compagnons de vos journées vous enseignent en premier lieu : comment faire des bébés. Les parents n’ont pas de temps à discourir avec les enfants. A la campagne, en ce temps là, s’adonner à « la galipette » est le seul loisir qui s’offre à vous. Cela se fait loin des regards. Cela se fait vite, il n’y a pas de temps à perdre. Il y a les vaches à traire et le blé à rentrer. L’orage gronde …

Et la fameuse « Cathy » souvenir des « paradis perdus »: « Oh Cathy aime moi » ??? Non. MURAT en interview dit qu’il aime a se faire appeler comme ça. « Cathy » ? C’est lui !

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 « Morituri » désigne ceux qui vont mourir. La soixantaine passée la soif de vouloir satisfaire « Madame » n’est sans doute plus aussi forte, irrépressible. Qu’il est loin le temps du fier amant qu’on avait peine à rassasier : « L’amour est parti/C’est toi qui l’a dit ». Alors « Morituri » le chant du cygne du « zizi » ???

***

Ajout le 25 février 2016 …

On nous dit MURAT reclus dans son pays d’Orcival. Surprise, le nouvel album qui s’annonce nous mène largement voir ailleurs. Son ancrage en Auvergne est toujours aussi prégnant, pour autant il n’est pas de chansons qui ne nous conduise hors des sentiers battus, loin de sa terre Auvergnate …

MURAT nous invite à un beau tour du monde, voyez plutôt  …

ORANGE

Extrait du titre « Tous mourus »

(…)

« Comme dit le gars de BAGNOLS/Le paysan est mouru »

(…)

bagnols1

Bagnols est une localité du Puy de Dôme comprenant 720 habitants environ et située à 850 mètres d’altitude …

Bagnols_(63)_village

(…)

« Le garde-chasse s’est pendu vers CHAMBOURGUET« 

(…)

chambourguet2

 Sur le Puy Chambourguet les marmottes ont fait leur royaume …

 chambourguet21

(…)

« J’irai voir la mer, voir les Pyrénées« 

(…)

Question d’oublier, tous ces morts, tous ces pendus …

***

Extrait « Le chant du coucou »

(…)

« Un vent d’Espagne me ramenait le passé »

(…)

« Je prenais vers FONSALADE/Pour tremper mes mains dans l’eau ».

(…) 

fonsalade

« Fonsalade » est la vallée ou vallon qui sépare les roches « Tuilière » et « Sanadoire », creusé par un glacier . En patois le terme veut dire « Fontaine salée ». C’est aussi le nom d’une rivière où, chemin faisant, il est bon de se rafraîchir les pieds. 

***

Extrait « Le cafard »

(…)

« En Haute Savoie/Face caméra/Coupez »

(…)

Village Haut Savoyard sous la neige …

hte savoie

(…)

« J’ai quitté Angers/J’ai préféré fuir »

(…)

Le château du roi René y sied …

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(…)

« J’ai quitté ROISSY/Pour sauver ma vie »

(…)

Comme on le comprend …

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(…)

« Je suis en Bretagne/Je reprends haleine »

(…)

Escale dans la cité des corsaires …

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(…)

« Ile de Bréhat/Face caméra/Coupez »

(…)

Ici l’air est sain …

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***

Extrait de « Tarn et Garonne »

(…)

« Quand Emilie vient me voir/Elle quitte sa Tour Eiffel

(…)

La « Belle Dame » vue par Christophe PIE … himself !

tour eiffel

(…)

« Quand Emilie vient me voir dans le Tarn et Garonne« 

(…)

Les gorges de l’Aveyron dans le Tarn et Garonne …

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***

Extrait de « French lynx »

(…)

« Le cœur est le cerveau/Petit talus de Lorraine »

(…)

Image de Temple Neuf en Lorraine …

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***

Extrait de « Frankie »

(…)

« J’ai suivi la femelle/En forêt de Bavière« 

(…)

Nous quittons la France, direction outre Rhin … 

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Même les loups y trouvent leur place …

bavaria81

***

Extrait de « Nuit sur l’Himalaya ».

(…)

« Comment va la nuit sur l’Himalaya ? ».

(…)

L’Himalaya chanté par MURAT est un sommet d’amour …

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***

Extrait de « La pharmacienne d’Yvetot »

Un détour par « CHARLANNE« 

charlanne 4

Le plateau de « CHARLANNE » surplombe LA BOURBOULE. En 1902 Jean CLARET constructeur du 1er tramway électrique Français à Clermont-Ferrand conçoit un funiculaire pour accéder au plateau. Un restaurant voit le jour ainsi qu’un mini golf. L’un et l’autre ont été abandonnés. le site est redevenu naturel.

charlanne 1

  charlanne 3

charlanne 2

Puis MURAT nous conduit autour du monde tour à tour : « Les Açores »  – « Le Danemark » -  »Tahiti » – « Monaco » – « Cordoba »« ARKHANGELSK »  … Et MURAT de citer ces endroits où la paix du monde s’en est allée, a vacillé : « DANTZIG » – « Les Dardanelles » « SARAJEVO » – « Le Bengale » et « Le Bengladesh » …   Enfin MURAT de faire référence à : « La Corée du Nord » … Mais toujours la jeunesse et l’amour l’emportent … retour à : « Yvetot »

Un air de Normandie …

yvetot1

***

Extrait de « Tous Mourus »

(…)

« V’là que le paysan s’est noyé/A ce qu’on dit

Dans le purin/Qu’il devait épandre au Veillis« .

(…)

Mais inlassablement sur ses terres le chevalier  MURAT revient … Il est né paysan, doublé d’un BERGHEAU« Tête dure/tête de mort »  … 

foret12

En effet, « Le Veillis » n’est rien moins qu’une parcelle de terre cultivée par François le grand-père de Jean-Louis BERGHEAUD. Je le tiens du « Brenoï » lui même et je n’en suis pas peu fier. Il s’agit d’une prairie à présent recouverte d’arbres et donc une parcelle cultivable en moins comme il y en tant ! Hélas ! Au « Veillis » grand de quelques arpents,  on y faisait la fenaison, on s’asseyait à l’ombre des grands arbres. A midi grand-mère apportait le repas. Ce sont des choses, des odeurs, des senteurs …  qu’on n’oublie pas !  Au « Veillis » …  

***

Le 15 avril 2015 « Morituri »  sera dans les bacs. Déjà « French lynx » est à disposition, distribué aux bonnes radios.

  • CD hors commerce interdit à la vente (recto/verso) …

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***

A suivre …

Publié dans : Non classé |le 18 février, 2016 |20 Commentaires »

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20 Commentaires Commenter.

  1. le 18 février, 2016 à 23:35 Armelle R.G. écrit:

    Inspiré par cette actualité, peut-être? http://www.charentelibre.fr/2014/05/27/les-commercants-charentais-en-slip-devant-les-impots-une-provoc-pour-marquer-les-esprits,1897665.php

    Quand à l’extrait que tu as choisi Didier, je suppute un de ces jeu de mots destiné à cacher ce que suggère l’auteur! :)

    Répondre

  2. le 18 février, 2016 à 23:38 Armelle R.G. écrit:

    un X à jeu bien sûr (et sans jeu de mots!)

    Répondre

  3. le 19 février, 2016 à 12:57 Muse écrit:

    Eh be…S’il enlève le bas à cette saison, il va nous choper un bon rhume de…cerveau ;-) Heureusement qu’on aperçoit le caleçon cycliste (molletonné possiblement acheté à Popeck) en lisière des cuisses parce que sinon…un rhume de fesses, ça pardonne pas, même avec un bon coup de génépi ou de gentiane derrière la cravate! ;-) )
    J’ai du mal avec l’allure ray-ban Dick Rivers, ça fait super chiqué.
    Mais le bouquet je mets une option dessus. Des fois qu’on y trouve dedans des plantes médicinales ou pouvant être cuisinées, ça m’intéresse.

    Bon alors, spéciale dédicace à JLM pour illustrer musicalement sa tenue, avec un collègue auvergnat au micro: et vlan, passe-moi l’éponge…

    https://www.youtube.com/watch?v=8OKDDN1H5NE

    Répondre

  4. le 20 février, 2016 à 12:53 Sylvie et Christophe écrit:

    Bonjour Didier
    ça y est il a remis ça (on n’attend que ça)la photo est curieuse et le mélange Fran-glais donne le ton, actualité, politique, ordre mondial …tout le monde va en prendre pour son grade…
    Nous sommes prévenus !

    Allez bon vent et bienvenu au futur nouveau rejeton, nous sommes quoi qu’il arrive dans les starting-blocs !

    Amitiés Muratienne

    Sylvie et Christophe

    Répondre

  5. le 20 février, 2016 à 13:05 Sylvie et Christophe écrit:

    Ceux qui vont mourir … waouh quel programme !
    Un titre chargé de sens et de symboles, un regard aiguisé et une plume acérée pour ce nouvel opus du Brenoï, ça va tanguer sec (la surnage dans les tourbillons d’un steamer) dans les chaumières et sur nos platines !
    A toi de jouer Didier pour décrypter ce nouveau message sonore …

    Christophe

    Répondre

  6. le 20 février, 2016 à 13:12 Armelle R.G. écrit:

    Après mes premières supputations quant à la photo et cette phrase tirée du « Lynx », je ne saurais dire si c’est encore du hasard s’il y a deux semaines à ma médiathèque, le titre d’un livre m’a immédiatement attiré : il s’agit de « Prélude à l’aventure », récit inédit de 1941 publié en 2012, d’Henri VINCENOT, homme de la terre et grand auteur, qui raconte les prémices de sa propre aventure qui sera toute sa vie, celle de sa famille et de ses descendants, la révélation contée à la fin de « La Billebaude ». Cet homme a choisi une vie qu’on pourrait aisément comparer à celle de Jean-Louis concernant l’observation et l’amour de la nature, le travail et les activités qu’elle suscite quand on veut y rester attaché à tout prix, la façon de vivre avec elle en y faisant participer femme et enfants, tout en étant féru de lecture, d’écriture, d’Histoire et en travaillant par ailleurs.
    Pourquoi je vous parle de ce livre ici? parce que je viens de le terminer et qu’à de nombreuses reprises l’image de JLM s’est donc substituée à celle de l’auteur vu dans ma jeunesse à la télévision (souvent invité de l’émission culturelle « Apostrophe »), et surtout parce qu’une suite de phrases à la fin de ce récit inachevé vient de me faire comprendre le sens vrai des mots extraits du texte du Lynx : »Tu rumines au sextant/Tu te crois indigène/Mais tout est éboulis »; comprenez ma surprise, le mot sextant n’est pas utilisé à tout va et voila que je le retrouve dans ce récit : »Dois-je engager mes enfants dans ce chemin pittoresque et vain d’où j’ai eu grand-peine à évoluer? L’âme de Marie-Claudine* navigue dans l’imprécis, juste assez pour ne pas se perdre. C’est nous qui nous perdons avec notre sextant. N’ayant pris aucun repère, elle est toujours à sa place… »
    *Claudine est la fille d’Henri Vincenot, c’est une très jeune enfant au moment du récit
    Ces mots font bien sûr aussi écho à « Robinson » avec « Apprends à t’orienter de nuit/Apprends à t’orienter de jour(…) Sous un ciel sans aucun abri/Apprends à trouver le chemin »…
    Alors le jeune Bergheaud a-t-il aussi été inspiré par les récits écrits et/ou télévisuels d’Henri Vincenot le bourguignon pour construire sa vie ou a-t-il tout simplement suivi son instinct comme il l’entendait, comme d’autres l’ont fait avant et quelques-uns tentent de le faire maintenant (ça devient hélas bien difficile)?

    Répondre

  7. le 20 février, 2016 à 15:51 Muse écrit:

    Henri Vincenot était un sacré personnage, Armelle. Je l’ai rencontré quand j’étais petite fille à une foire du livre en Bourgogne avec mes parents. Il nous avait dédicacé « le Pape des Escargots » et nous avions ri avec lui d’anecdotes. C’était un conteur fabuleux. J’adorais son accent et sa façon de raconter les histoires. Je me souviens notamment de celle qu’il nous avait racontée, la fin d’un vieux vigneron qui casse sa pipe et qui demande à faire venir le curé pour les derniers sacrements. Mais avant, il veut boire un canon. Et ses amis vont lui servir un verre de bon vin de sa cave, quand même, faut ce qu’il faut.
    Le vieux le goûte, avale une, deux, trois gorgées, glougloute et puis d’une voix tonitruante (et là, la voix de Vincenot était juste un poème, je l’ai encore dans l’oreille): Chambolle Musigny 1922. Dépêchez-vous de le boire, il fout l’camp! Qu’est qu’on avait pu rigoler…

    Bien contente que tu apprécies cet auteur incontournable bourguignon.
    Qui a su garder la gourmandise de la vie simple tout au long de sa vie.

    JLM a dû l’apercevoir à la télé quand il était jeune mais a dû s’y intéresser relativement tardivement. Je suis frappée de voir que le pauvre Henri se retrouve mis en valeur ces dernières années par l’extrême droite française dans différents blogs. C’est moche qu’un gars aussi sympa que Vincenot se retrouve récupéré par des salauds.

    Je crois que JLM a toujours suivi son instinct pour tout ce qu’il a fait. Jamais eu besoin de maîtres à penser pour ça.

    Répondre

  8. le 5 avril, 2016 à 17:06 Manetti Patrice écrit:

    Morituri arrive le 15 avril,rempli de promesses,mais que sait on de la promo/radios/journaux/télés(?)…la »belle »langue muratienne ne peut, aujourd’hui encore moins,se passer d’un tel exercice!Sinon,elle sera muette.De plus,pas de nouvelles d’une tournée Morituri(2dates!),que se passe t il? Si vous avez des infos ,merci.

    Répondre

  9. le 5 avril, 2016 à 22:37 Jerry OX écrit:

    Ce nouvel opus de Jean-Louis Murat donne envie d’être écouté ! Une fois de plus , il se fait l’artisan de la chanson qui fait toujours bien son boulot . Merci pour ce billet passionné et , de surcroît passionnant .

    http://magicienox.blogspot.com/

    Répondre

  10. le 4 mai, 2016 à 22:43 Jacques écrit:

    Bien le bonjour Mr Lebras. Après quelques écoutes et le concert d’hier soir sur Arte, je pense que cet opus va rester. Rien de nouveau pourtant. Et pourtant!! La voix douce (très éloignée de Babel, album qui me plait grâce au Delano), le clavier très présent mais pas pesant (rumba, jazz, blues…), les mélodies, une couleur proche du »Grand lièvre » (même si j’ai un faible pour « Toboggan »), et les textes bien sûr. A ce propos, massacrer « Le cafard » sur scène à ce point c’est… muratien sans doute… J’irai peut-être faire un tour à Clermont en juin, mon pays, constater qu’il n’y a pas que des pneus en Auvergne. Merci encore pour votre boulot. Invraisemblable parfois, indispensable surtout.

    Répondre

  11. le 5 mai, 2016 à 7:06 didierlebras écrit:

    MERCI D’aimer MURAT jacques même si ses excès ou ses humeurs peuvent être source d’incompréheNsion …
    iNVRAISEMBLABLE ??? indispensable ???
    Que longtemps vive MURAT !
    D

    Dernière publication sur  : Jean-Louis MURAT ... il aime ... il n'aime pas ...

    Répondre

  12. le 18 juin, 2016 à 19:57 louis chauzu écrit:

    c’est un auteur et un musicien remarquable , je le suis depuis col de la croix Morand et le précédent un très bon mélodiste aussi ah que voilà le jean louis adulé par certains et honni par d’autres salut amical!!

    Répondre

  13. le 3 juillet, 2016 à 14:19 Angela écrit:

    Par hasard je suis tomber ici, un découvert pour moi, je suis nul dans la musique Français et des poes ( suis étrangere) mais j’aime la poésie avec un « kick » et spécial le photo !!!!, j’adore les hommes bien habiller avec les jambes nue !!!!!
    Félicitation Angel de Corbières

    Répondre

    • le 4 juillet, 2016 à 8:28 didierlebras écrit:

      Le hasard fait bien les choses … Merci de faire connaître ce blog à vos amis. Je n’ai d’autre pub que le bouche à oreille et n’en veux pas d’autre. Si vous avez le temps, dites moi pourquoi vous aimez Jean-Louis MURAT ?

      Dernière publication sur  : Jean-Louis MURAT ... il aime ... il n'aime pas ...

      Répondre

  14. le 3 juillet, 2016 à 14:19 Angela écrit:

    Par hasard je suis tomber ici, un découvert pour moi, je suis nul dans la musique Français ( suis étrangere) mais j’aime la poésie avec un « kick » et spécial le photo !!!!, j’adore les hommes bien habiller avec les jambes nue !!!!!
    Félicitation Angel de Corbières

    Répondre

  15. le 4 décembre, 2017 à 20:48 Pauvre_murat écrit:

    Bonsoir,
    C’est rare de lire un tel chapelet d’imbécilités compilées.
    Vous écrivez comme un pied, c’est plat, c’est moche. C’est ridicule.
    Le cher Jean-Louis mérite mieux qu’un blog aussi triste.
    Bien à vous – enfin, surtout à lui.

    Répondre

  16. le 9 décembre, 2017 à 22:55 Patrice Manetti écrit:

    Si des commentaires agressifs, familiers sur Y.T.,viennent vomir ici,
    la seule remarque possible est: que venez-vous y faire?
    « Faites de route! »

    Répondre

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