- 148 – Jean-Louis BERGHEAUD … dit MURAT … alias … Aymerigot MARCHES !
S’il est un personnage qui semble avoir marqué l’enfance de Jean-Louis BERGHEAUD c’est bien Aymerigot MARCHES *. Qu’est-ce qui me permet de vous dire cela ? Le fait que, lorsqu’il s’est agit d’utiliser un nom d’emprunt, un nom de chanteur, BERGHEAUD a tout de suite pensé au nom de ce brigand qui avait trouvé refuge à : « La roche Vendeix », non loin du domicile des grands parents. Les paysans du coin ont encore en mémoire tout ce qui se dit sur ce bandit des grands chemins qui a pillé, volé sans vergogne. Il est certain que François et Thérèse lui ont ressassé les oreilles avec ce personnage entré dans la légende locale avec une réputation de « diable » et d’homme peu fréquentable. Le p »tit BERGHEAUD n’a pas grand monde à qui parler. François le grand-père ne dit mot. Souvent, il n’est pas en état d’échanger. Thérèse est trop occupée aux tâches journalières. Elle chante. Tout ça pour vous dire que rapidement le petit garçon a du se construire son propre univers de solitude. Il aime les chevaux. Il monte à cru. Son terrain de jeu préféré ? « La roche Vendeix » et la rivière qui coule aux pieds de cette montagne. BERGHEAUD y a pêché la truite mains nues. Avec ses copains, dans les bois qui montent au sommet de « Vendeix », dans la rivière ils ont cherché, en vain le trésor caché par Aymerigot MARCHEZ.
* Parfois orthographié Mérigot Marchez, Marcheis, Marchaiz, Marces, Marcheix ou Aymerigot Marchès. Le chroniqueur Jean Froissart écrivait : Aymerigot Marcel.
Le modeste passionné d’histoire que je suis de s’en aller à la recherche de ce personnage, avec l’arrière pensée de mieux connaître Jean-Louis BERGHEAUD qui n’hésite pas à dire que s’il n’avait pas écrit il serait devenu bandit. Ce ne sont pas les mots exacts, ça y ressemble. En 2013 sort « Toboggan ». MURAT le rebelle, ce « bandit » au grand coeur nous chante : « J’ai tué parce que je m’ennuyais/Dois-je vous le chanter …/Dans cet asile d’aliénés/Pris dans cet essaim de beauté/La musique propre est à gerber/L’oeil de la bête m’a regardé/L’animal est abandonné/Le tout/Jusqu’à l’éternité ». Deuxième objectif recherché, celui de vous faire connaître un personnage sous des aspects non encore évoqués. Je vais donc tenter de faire montre d’originalité …
Aymerigot MARCHES naît dans le Limousin en 1360, l’année de la signature du traité de Brétigny qui permit l’arrêt de la guerre de 100 ans sur une courte période de huit années.
La carte de France suite au traité de Brétigny …
Aymerigot est de noble extraction : son père Aimery MARCHES est chevalier de Beau Déduit et seigneur de Chalus, Marches et Noblac. Sa mère est Marguerite d’Ussel. Il est né au château de « Beaudeduit » (précité), à quatre lieues de Limoges. Ses frères cadets avaient pour nom Girard et Huguenin. Suite à la signature du traité de Brétigny les parents de Mérigot refusent de passer sous la tutelle des Anglais et quittent leurs terres du Limousin. Mérigot est laissé à la garde d’un tuteur puis à celle de son oncle : Guyot d’Ussel lequel a embrassé le parti des Anglais. Guyot restera toute sa vie l’un des plus proches compagnons de Mérigot. A l’âge de 15 – 16 ans le jeune homme fait ses premières armes et ne tarde pas à créer sa propre « route ». Il commence alors à rayonner dans le Limousin ainsi qu’en Auvergne, rançonnant et pillant. Par ruse, par force ou par « échellement » il prend des châteaux dont il fait des bases de refuge et d’opérations. Il désobéit au roi d’Angleterre, qui la trêve signée, a ordonné l’arrêt des actes de guerre. Son erreur sera de s’en prendre au puissant Duc du Berry, oncle du jeune roi de France soit Charles VI. De l’Anglais et du Français il s’est fait des ennemis. Cela vaudra sa perte …
Les propos qui suivent sont ceux de Mérigot rapportés par le chroniqueur médiéval Jean FROISSART …
Jean FROISSART (1337 – 1404) …
Le récit qui suit illustre parfaitement la quête aventureuse des routiers et des « pâtis » (ou pactis **) qu’ils imposaient aux populations, leur garantissant protection en échange d’argent ou de victuailles. « Comment étions nous réjouis quand nous chevauchions à l’aventure et que nous pouvions trouver sur les champs un riche abbé, un riche prieur, un riche marchand ou un convoi de mulets de Montpellier, de Narbonne, de Limoux, de Béziers, de Carcassonne ou de Toulouse, chargés de draps d’or ou de soie, de Bruxelles ou de Montivilliers, et de pelleteries venant des foires de Lendit ou d’ailleurs ou d’épiceries venant de Bruges ! Tout était notre ou rançonné à notre volonté. Tous les jours nous avions un nouvel argent. Les vilains d’Auvergne et du Limousin nous pourvoyaient et amenaient en notre château les blés et la farine, le pain tout cuit, l’avoine pour les chevaux et la literie, les bons vins, les bœufs, les moutons, les brebis, tout gras, et la poulaille et la volaille. Nous étions étoffés comme rois. Et quand nous chevauchions , tout le pays tremblait devant nous. Par ma foi, cette vie était belle et bonne, et mes pactis me valaient plus de vingt mille francs par an … ».
** « Contribution forcée imposée à un vaincu par le vainqueur, sous la menace de représailles »
La belle vie en n’est-ce pas ? Comme indiqué ci-dessus par Aymerigot lui-même, le pays Arverne fut un des terrains de chasse préféré du brigand et de sa troupe. Me voilà donc parti à la recherche des endroits ou MARCHEZ a laissé son empreinte …
Le village de Brezons …
La commune de Brezons dans le Cantal, située à l’extrémité sud ouest du parcs naturel régional des volcans d’Auvergne s’est constituée autour d’un château qui était juché sur le rocher dominant du bourg. Je me suis dit : « Tien voilà l’une des prises du brigand Mérigot ! ». Eh bien non, je me trompais. C’est Jean-Baptiste DE RIBIER DU CHATELET qui va me mener sur la bonne piste et au bon endroit … En effet, l’historien, spécialiste du Cantal dont il est natif, dans son « Dictionnaire statistique du Cantal » (Tome I/Année 1824) nous présente ce village en ces termes : « Brezons, chef lieu, à 7 km de Pierrefort (…) 7 km de St Flour, situé dans le vallon, sur un petit monticule qui domine de quelques pieds la rivière. Le vallon est d’une très grande profondeur. Il commence au versant sud du Cantal, prend une grande largeur dans cette partie, puis va en se rétrécissant en dehors de la commune. Dans les coteaux de l’ouest règnent des forêts. Cet ensemble naturel donne au village, d’ailleurs peu considérable, un aspect très riant. Son église au centre du bourg est dédiée à St Hilaire. Elle fut au XIème siècle, donnée au monastère de St Flour par AMBLARD DE BREZONS. » Plus loin Jean-Baptiste DE RIBIER d’énumérer les lieux dits composant la commune dont le n° 21 « La Grifoul » au sujet duquel il écrit : « Hameau près duquel paraissent encore les vestiges d’un château. ce manoir était adossé à un rocher très élevé et bien fortifié. Mérigot MARCHEIX, l’un des routiers qui désolèrent le plus nos montagnes, ne pouvant s’en emparer par la force, usa pour en venir à bout d’un stratagème en rapport avec les moyens de guerre de l’époque. Il avisa de détourner le ruisseau de Riailler et de le conduire sur le rocher ; le ruisseau formait alors cascade sur le bâtiment du fort, y causa de grands dégâts, obligea le seigneur à capituler et à payer une forte rançon ».
Le 16 janvier 2013, dans une chronique intitulée : « Mérigot Marchés - Le brigand qui ruina le château de la Grifoul ! » Sarah Hubert MARQUEZ nous conte cette prise : « La horde de Mérigot entreprit alors ses terribles exploits à une cadence effrénée dans toute la région. Bien que brièvement arrêté en 1375 et emprisonné à la tour de Riom à l’âge de 24 ans, il repartit de plus belle avec ses hommes commettre ses exactions. Après avoir évacué ses deux places de Saint-Nectaire et de Charlus, il occupa la forteresse d’Alleuze puis en 1387 le fort abandonné de Roche-Vendeix près de la Bourboule (Puy de Dôme). Depuis cette base, il organisait des raids avec ses mercenaires pour piller et rançonner les habitants des contrées avoisinantes. Et voilà qu’un beau jour, le fameux capitaine visita la vallée de Brezons et défia le châtelain de La Griffoul. Caché sous un énorme rocher, bien en hauteur, le château était considéré comme imprenable et faisait la fierté de son propriétaire, le seigneur AMBLARD DE BREZONS. Abusant de sa position, celui-ci se montrait particulièrement condescendant envers les autres seigneurs de la contrée. On dit aussi qu’il fit construire un tunnel pour cacher ses écus d’or mais ça c’est une autre histoire … Un jour Mérigot Marchés se présenta au château et demanda une audience auprès du châtelain. Amblard qui n’était pas le moins du monde intimidé par son visiteur, alla à la fenêtre avec une arquebuse à la main. Il lui somma de partir au plus vite et de ne jamais revenir. Mérigot furieux s’enfuit en jurant de se venger. Il étudia attentivement le relief de la vallée de Brezons et fit faire à ses troupes une tranchée dans la montagne pour dévier les eaux du Railler. Le ruisseau bondit de son lit directement au pied du château. On n’eut jamais vues de plus belles cascades. Les eaux s’infiltrèrent rapidement dans les pièces du château et AMBLARD fut pris au piège, obligé de se rendre et de payer une forte rançon pour avoir la vie sauve. Sous ses yeux, il vit le château dont il était si fier s’effondrer ».
Voilà pour l’un des principaux faits d’armes du Mérigot, mais il en est d’autres qui eurent pour cadre la terre d’Arverne …
Mérigot MARCHES fait du château d’Alleuze l’un de ses premiers repaires … FROISSART de nous conter en termes imagés la prise de cette imposante bâtisse que le chroniqueur désigne sous le nom « Aloise » : …
« Mérigot Marchès chevauchoit une fois, lui douzième tant seulement, à l’aventure ; et prit son chemin pour venir à Aloise de-les-Saint-Flour, qui est un beau château de l’évéché de Clermont. Bien savoit que le châtel n’étoit point gardé, fors du portier tant seulement. Ainsi qu’ils chevauchoient à la couverte devant Aloise, Mérigot regarda et vit que le portier séoit sur une tronche de bois en dehors du châtel. Adonc dit un Breton qui savoit trop bien jouer de l’arbalétre : « Voulez-vous que je vous le rende tout mort du premier coup ? » « Oil, dit Mérigot, je t’en prie. » Cil arbalétrier entoise et trait un carreau, et assenne le portier de droite visée en la tête et lui embarre tout dedans. Le portier qui étoit navré à mort, quand il se sentit féru, rentra en la porte et cuida refermer le guichet, mais il ne le put, car il chut là tout mort. Mérigot et ses compagnons se hâtèrent et entrèrent dedans : si trouvèrent le portier tout mort et sa femme de-lez lui tout effréée, à laquelle ils ne firent nul mal, mais ils lui demandèrent où le châtelain étoit. Elle répondit que il étoit à Clermont. Les compagnons assurèrent la femme de sa vie, afin qu’elle leur baillât les clefs du châtel et de la maîtresse tour. Elle le fit, car elle n’avoît point de défense ; et puis la mirent hors, et lui rendirent toutes ses choses, voire ce que porter en put : si s’en vint à Saint-Flour, à une lieue de là. »
Les ruines du château d’Alleuze …
Les chefs de bande comme Mérigot MARCHEZ travaillent tantôt pour le royaume d’Angleterre, tantôt pour le royaume de France. En 1374 Mérigot effectue l’une de ses plus belles prises : le château de Ventadour en Corrèze. Le brigand et ses hommes se trouvent en région d’Ussel lorsqu’un nommé PONCET DU BOIS, valet du seigneur de Ventadour, mécontent de son maître se propose d’ouvrir les portes de la bâtisse à Mérigot et ses hommes. Profitant de cette traitrise MARCHEZ s’empare des lieux qui, 10 ans durant seront occupés par Geoffroy « tête noire » à qui Mérigot à cédé ce bien.
Ruines du château de Ventadour …
Autre prise que celle de Mérigot, le château de Mercoeur situé sur la commune de Ardes à 30 kilomètres au Nord/Ouest de Brioude et 30 kilomètres au Sud/Ouest de Issoire. Cette demeure seigneuriale propriété de la famille MERCOEUR semble avoir été construite au 11ème siècle. De la bâtisse il ne reste plus qu’un vestige de tour. Voilà qui motive le surnom donné à l’endroit par les locaux : « Le doigt » …
Ruines de Mercoeur …
La visite du lieu n’est pas sans risque. Un panneau nous prévient de ce danger …
FROISSART de nous conter la main mise sur le « Châtel du Vallon » par « échellement » : « Et quand Mérigot fut dedans (après l’échellement), le capitaine (le seigneur du château du Vallon) dormoit en une grosse tour, laquelle n’étoit mie à prendre de force. Adonc s’avisa Mérigot d’un subtil tour ; car il tenoit le père et la mère du capitaine : si les fit venir devant la tour, et fit semblant qu’il les feroit décoler si leur fils ne rendoit la tour. Les bonnes gens doutoient la mort ; si dirent à leur fils qu’il eût pitié d’eux ou autrement ils étoient morts. Si pleuroient tous deux moult tendrement. L’écuyer se rattendry grandement, et n’eût jamais vu son père ni sa mère mourir, si rendit la tour ; et on les bouta hors du châtel. »
Malgré mes recherches je n’ai pu situer cet endroit …
Ayant cédé la forteresse d’Alleuze au seigneur d’ARMAGNAC le sieur Mérigot s’installe au château de « La Roche Vendeix ». La demeure appartient au Seigneur DE LA TOUR. Le malin Mérigot sait la bâtisse vide, il n’a donc aucune difficulté pour s’en emparer. Il fait fortifier le château qui sera sa dernière demeure.
La Roche Vendeix …
Vers 1388 Mérigot se marie avec Dame Mariote dont il n’aura pas d’enfant. A partir de « La Roche Vendeix » Mérigot poursuit ses pillages. Les populations locales en appellent au roi de France. CHARLES VI charge donc Robert DE BETHUNE, vicomte de MEAUX de s’emparer de « Vendeix », de détruire son repaire et de saisir le brigand. Mérigot quitte l’endroit et demande le secours du Duc de Lancastre. Il confie « Vendeix » à son oncle : Guyot d’USSEL lequel soutiendra un siège de 12 jours avant de rendre les armes. Mérigot, isolé, trouve refuge chez un cousin germain : sieur Jean DE TOURNEMIRE qui fera livrer Mérigot au roi de France. C’est donc victime d’une trahison que Mérigot met définitivement genoux à terre.
Le 9 avril 1391, le sire DE TOURNEMIRE voit tous ses crimes pardonnés. Il perçoit une forte somme de Louis d’or. Il obtient un emploi auprès du Roi. Le 18 mai 1391 PONS DE LANGEAC sénéchal d’Auvergne prend livraison de Mérigot. Celui-ci, après 25 jours sous bonne escorte l’incarcère à La Bastille. Le 9 juillet 1391 Mérigot est transporté au Châtelet
Le grand châtelet, forteresse édifiée par Louis VI et démolie au 19éme siècle …
Après un long interrogatoire et un arrêt motivé, il est exposé au pilori des Halles. Le 12 juillet 1391 pendant qu’on lit la liste de ses crimes, on lui tranche la tête. Il a refusé les services du prêtre qui lui présentait un crucifix. Son corps est coupé en quartier et exposé aux quatre portes principales de Paris.
Exécution de Mérigot MARCHES …
Mérigot MARCHES a laissé un tel souvenir aux paysans locaux que sitôt son départ connu, les gens de « Vendeix » et d’alentours s’empressèrent de démanteler ce qu’il restait du château, de peur qu’il ne revienne. La légende dit que cinq ans après sa mort, le « diable » lui aurait donné rendez-vous au pied de la cascade de la Verrière près du Mont Dore, et le précipite dans le gouffre pour être certain qu’il ne reviendrait plus.
Cascade de La Verrière au Mont Dore …
Le sieur Aymerigot MARCHES a bien existé, j’en ai la preuve …
Au sommet de « Vendeix » il ne reste donc plus aucun vestige du brigand Aymérigot MARCHEZ … Lorsque vous arrivez au sommet de cette rude pente, un simple banc en bois vous offre un asile de repos et de paix. Virginie qui habite non loin, m’a assuré que les esprit de BERGHEAUD et de Mérigot MARCHEZ hantent les lieux.
En avril 2016 MURAT nous offre « Morituri ». Dans la chanson « French lynx » il y évoque « Ventadour« . Est-ce qu’il faisait référence au brigand Aymerigot MARCHEZ ? Je ne sais ! Ce qui est certain c’est qu’il éprouve une vraie sympathie pour le jeune homme.
Extrait … « French lynx » … (« Morituri ») … 2016 …
(…)
»Tu cherches Ventadour/ Au cours des promenades/ Tu vois la langue douce/ Briser ce qui est beau/ Je crois qu’il ne nous reste/ Que la peau sur les os/ Dans la vie d’ici ».
(…)
***
Bonjour,
intéressant, cet intérêt pour le brigand Aymerigot Marchès, que j’ai étudié à l’Université de Limoges et Poitiers. C’est l’un des personnages de mon polar historique « Le crime de Châlucet » à paraître en septembre 2016 chez Geste Editions.
Merci de votre attention. Un roman qui prend en compte Aymerigot Marchés voilà qui semble intéressant. Si vous pouviez m’en dire +
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Salut,cette enquête enrichit grandement les infos que nous avons lues,ce mois d’août,en petit déjeunant sur le haut de la Roche de Vendeix sur ce banc.Un panneau du hameau indique le lieu dit « Le Siège »à 600 m environ de la Roche.Quel bel endroit!Puis une balade,par un joli chemin,nous a menés à Chamablanc (moins vaste que je ne l’imaginais),aux troupeaux assez rares (déprise agricole, ici ?).On imaginait bien(ressentait) la présence du passé du jeune Bergheaud dans toutes les chansons écoutées sur place.
Merci Patrice de ce témoignage pris sur le vif.
D
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Un grand merci pour cet article que j’ai lu avec passion. Faisant des recherches généalogiques sur mon nom de famille, je ne pouvais pas passer à côté! J’ai hâte de lire le polar de Laurent.
Vous seriez donc descendante du célèbre « brigand » que Jean-Louis MURAT aime tant ? Le polar de Laurent ??? Si vous pouviez m’en dire + … Merci en tout cas de votre attention. Merci de faire connaître ce blog qui n’a d’autre objectif que de donner à aimer MURAT.
Je ne suis quant à moi qu’un simple « quidam » … MURAT ne me connait pas. Je veux dire par là que je ne travaille pas pour lui … Je suis un simple passionné par la plume de l’Auvergnat.
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Disons que nous aurions des ancêtres communs puisqu’il semble qu’il n’ait pas eu de descendance…. mais c’est toujours « piquant » de decouvrir de tels personnages. Pour le roman policier, il s’agit du crime de châlucet de laurent bourdelas, parution en sept.
Murat , je connaissais un peu et je le re -découvre grâce à votre blog. Merci.
c4EST VRAI PAS D ENFANT … LE MARCHEIX … J OUBLIAIS … UN DE SES REGRETS D AILLEURS … JE VAIS DONC SUIVRE LA SORTIE DE CE LIVRE POLICIER … MERCI.H
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Le roman vient de sortir, voir :
Le mystère de Châlucet – Crimes et histoire en Limousin
BOURDELAS LAURENT chez Geste editions
Bonne lecture!
Belle analyse Jean-Marc, à laquelle je souscris en tous points … Bonnes fêtes de fin d’année. D
e
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merci !
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